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Nadja Cohen, ancienne élève de l’École normale supérieure, agrégée de lettres modernes, vient de terminer, sous la direction de Jean-Pierre Bobillot, une thèse de doctorat, portant sur la place du cinéma dans la poésie de 1910 à 1930. Elle a travaillé à l’université Grenoble III-Stendhal en qualité d’AMN puis d’ATER. Elle est l'auteur d'articles sur Henri Michaux (“Henri Michaux ou le dégagement rêvé”, Les Frontières en question, Presses universitaires de Grenoble, 2007) et sur André Breton (“André Breton, lecteur ou auteur de Jacques Vaché ?” dans Les Cahiers de l’ILCEA n° 10, 2008) mais a surtout publié des articles sur les relations entre le cinéma et les poètes, notamment sur Benjamin Fondane (“‛Paupières mûres’ : un scénario intournable ?”, Fabula LHT n° 2, décembre 2006, Louis Aragon (“Aragon et les débuts du cinéma”, Annales de la société des amis de Louis Aragon et Elsa Triolet n° 8, 2006) et Guillaume Apollinaire (“La Bréhatine, un scénario trop tournable de Guillaume Apollinaire”, Poésie et médias XX-XXIe siècles, à paraître chez Nouveau Monde éditions, décembre 2010). Elle s’intéresse plus largement aux relations entre la poésie et les médias, sujet d'un colloque qu’elle a contribué à organiser en novembre 2008 à la Sorbonne et dont elle vient de finir le travail d’édition.
Revues liées à cet auteur :
n° 25/26 - 2010/2011. Dossier : L’art et la fonction symbolique