« Retour | Jehanne Paternostre |
Née en 1976 à Chênée, Jehanne Paternostre vit et travaille à Ottignies-Louvain-la-Neuve en Belgique. Elle obtient en 2018 un master en Arts plastiques et visuels à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles (atelier de Dessin), après une licence en Histoire à l’Université de Louvain-la-Neuve (1998). Lauréate du Prix des Arts 2017 de Woluwe-Saint-Pierre et sélectionnée pour le Prix Découverte 2017 du Centre d’Art du Rouge-Cloître d’Auderghem, elle a exposé son travail sur la mémoire de Léon Trulin au Musée de la Résistance de Bondues (Peau de Chagrin, 2016) et à la Maison des Géants à Ath (« Passant, souviens toi », 2017), ainsi qu’au Musée L de Louvain-la-Neuve (Réinventer l’humanisme, 2018). Après avoir travaillé en 2017 sur le cimetière militaire britannique d’Etaples (Nord-Pas-de-Calais), c’est le cimetière militaire franco-belge de Champion (Namur) et le fort de Marchovelette qui ont fait l’objet plus récemment de son attention. Le résultat de ses recherches a été exposé à la galerie Short Cuts de l’asbl Lieux Communs à Champion (Sans épitaphes, 2018). Conjointement à ce travail sur la mémoire de la guerre, elle développe également sa réflexion autour de la question des migrants à travers une installation présentée dans le cadre du projet « 7m2 » du Point Culture de Louvain-la-Neuve (Mer trouée, 2018).
Revues liées à cet auteur :
n° 32 – 2018/2019. Dossier : « L’œuvre d’art entre structure et histoire » et « Greimas et la sémiotique de l’image »