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Ludivine Le Chêne est doctorante à l’Université Grenoble-Alpes et prépare une thèse en Lettres et Arts, spécialité langue française intitulée « L’âge du roman anthologique. Formes et enjeux de la digression dans l’écriture romanesque du premier XVIIe siècle », menée sous la direction de Madame Christine Noille-Clauzade. Elle est également membre de l’équipe de recherches RARE (Rhétorique de l’Antiquité à la Révolution) du laboratoire Litt&Arts à l’UGA. Ses domaines de recherches concernent la poétique, la rhétorique et la stylistique des romans du XVIIe siècle, et portent en particulier sur l’analyse du discours et du récit, ainsi que sur une théorisation de la disposition romanesque (dite anthologique). Elle a publié « La répétition dans les longs romans majeurs du XVIIe siècle (1600-1670) », in La répétition dans les textes littéraires du Moyen Âge à nos jours, éd. L. Abd-elrazak et V. Dusaillant-Fernandes, New-York, Peter Lang, 2020, pp. 115-129 ; « La digression, de l’outil au dispositif dans les longs romans du XVIIe siècle. L’exemple des œuvres de Georges et Madeleine de Scudéry », Digressions, dissertations, réflexions à l'époque classique, éd. Marc Hersant, Nathalie Kremer, Erik Leborgne et Catherine Ramond, Louvain, Peeters, « La République des Lettres », à paraître.
Revues liées à cet auteur :
n° 37 – 2023. Dossier : Suspendre le temps, continuer l’espace. La division lessingienne à l’épreuve des arts